A Hunter under the Dark Sky |PV Nuée Obscure|

A Hunter under the Dark Sky

L'Ancien Camp... Un endroit sombre, mystérieux et dangereux. L'ex-habitat des Bipèdes était désert, mais la mort planait toujours dans l'air. Ils y avaient laissé des machines qui, s'y on y touchaient, pouvaient faire beaucoup de dégâts. La plupart des coyotes le savent bien, les autres pourraient l'apprendre à leur dépens, s'ils avaient la malheur de les approcher. Comme le climat du lieu, le ciel était hostile à toute vie sauvage. De gros nuages noirs cachaient le soleil qui se levait à peine, et aucun de ses rares rayons ne venaient réchauffer la Terre. Bien mauvaise journée pour chasser, car la plupart des proies qui avaient le ventre plein se faisaient discrètes et ne se baladaient pas. Et comme ici, la majorité ont des terriers, elles restent dedans, à attendre un ciel plus propice. La température descendait en dessous des moyennes de saison. Dans l'Ancien Camp, le sol était étrange, noir comme les nuits sans lune, et parcourues de traînées d'étoiles filantes continues, jaunes comme le blé d'été, ou blanches comme la neige. Il fait mal aux pattes car il est dur, très dur, aussi dur que le roc, voir plus. Très souvent, il blesse les coussinets des animaux. Rien n'est rassurant quand on entre seul dans ce territoire qui appartenait aux Bipèdes.
C'est pourtant ce que faisait en ce moment Croc de Lumière, qui prenait le soin d'éviter au maximum le sol dur. On dirait la peau d'un serpent ! Pensa-t-elle. Elle quittait les champs et les forêts pour arriver dans ce camp fantôme, sinistre. Elle était partie en début de nuit pour venir chercher à manger ici, en prévenant la sentinelle qui veillait sur la Meute endormie, que si elle n'était pas rentrée à l'heure où le soleil était au plus haut dans le ciel, qu'elle envoie une petite patrouille sur ses traces, qui mèneraient en principe jusqu'à l'Ancien Camp. Le garde ne trouva rien à dire, surtout que Croc de Lumière ne lui avait pas laissé le temps de répondre. Elle était partie en lui lançant : « Je pars chasser ! »
La chef avait choisit ce lieu pour être tranquille. Quand elle y arriva, le soleil matinal éclaircissaient à peine les nuages noirs à son emplacement, et de ce fait, on le devinait très bas dans le ciel. C'était encore l'aube. La femelle renifla. Elle sentit avec dégout les odeurs du Camp de Bipèdes : le sol noir sentait fort, tout comme les choses étranges qu'utilisaient les humains. Mais parmi ses senteurs nauséabondes, elle en reconnut une plus familière et plus agréable. C'était celle d'un lapin. La chasseuse l'estima à environ dix queues de renard de sa position. Il devait être tapit derrière une caisse. La joie envahit Croc de Lumière : elle aurait au moins, avec un peu de chance, de quoi ne pas rentrer les « pattes vides ». Elle mit alors sa science en pratique : elle se fit légère dans sa marche, rapprochée du sol. Selon la méthode enseignée par les mentors, on doit faire croire que notre bruit est celui du vent dans les feuillages. C'est ce que le canidé fit. Elle n'était plus qu'à deux queues de renard de la caisse. Elle vit sa proie : un lapin bien dodu, Alors que Croc de Lumière s'apprêtait à bondir sur sa victime, un bruit retentit derrière elle , et fit fuir le gibier. En un clin d'œil, la membre du Lac identifia son origine : un autre coyote rodait par ici. Oubliant le lapin, sans prendre le temps de savoir si le coyote était d'une Tribu, elle bondit dans sa direction, passa l'angle de rue qui les séparait et se retrouva en face du coupable. Elle devina à sa tête qu'elle l'avait surprit. Qui que se soit, elle allait lui en dire deux mots. Elle prépara en un éclair des réponses. Si l'inconnu disait qu'il ne pouvait pas la sentir, elle répondrait que le sens du vent le permet. S'il rétorquait que personne ne vient jamais par ici, elle lui demanderait alors comment ça se fait qu'ils se rencontrent aujourd'hui. Quand elle en avait la motivation, Croc de Lumière pouvait être forte au tac-au-tac...

|Ça te va ? ^^|

[Oh, il est trop bien ton RP]

Nuée Obscure se trouvait près d'un étrange endroit, il n'était jamais allé dans cette parti de la forêt et devina qu'il avait dépassé les frontières de sa meute. Mais aucune odeur de meute du lac ne lui vint au museau. Il n'était pas sur les terres de l'autre meute.
Il s'était éclipsé au petit matin alors que tout le monde était endormi. Trop impatient pour attendre l'entraînement, il voulait attraper des proies et réviser ses techniques de chasse. Pendant tout le chemin qu'il avait parcourut il avait sentit le jour se lever doucement et des nuages noirs obscurcissaient le ciel.
A présent, il se trouvait près d'un endroit qui semblait abandonné, de drôle d'engin brillant semaient l désordre. Il huma l'air, une ancienne odeur de bipède imprégnait l'air. Il poussa un grognement de dégoût, l'odeur était écoeurante. il s'avança tout en restant à l'écart des machines qui pasemaient le sol. Il se demandait ce que c'était mais devina qu'il fallait mieux ne pas y toucher. Mais sa curiosité fut plus forte et il s'avança. Il n'était plus qu'à une longueur de queue qu'une odeur plus interresante vint lui chatouiller les narines: celle d'une souris. Nuée Obscure ferma les yeux et pensa au techniques que Pelage de Bach lui avaient enseignés:
"Tu dois toujours faire attention à ceux que le vent sois face à toi" "Pour que ton saut sois plus puissant, pose ta tête sur le sol et lève l'arrière train"
Nuée Obscure ouvrit brusquement les yeux. Pelage de Bach serait certainement fière de lui si il ramenait des proies. L'aprenti se mit à l'affut et devina que la souris n'était pas loin, dans une touffe d'herbe. Il pensa à ce qu'on doit faire attention pour chasser les souris: posez toujours ses pattes délicatement sur le sol pour qu'elle ne sente pas les vibrations. Après s'être mémoriser tout ça, Nuée Obscure s'avança avec la plus grande prudence possible, refit toutes les astuces et sauta... La souris eut juste le temps de se retourner avant de mourrire dans les griffes de l'apprenti.
Rayonnant, il poussa un cri de joie.
C'est alors qu'un éclair de fourrure passa devant lui et s'arrêta. Il sursauta et cligna des yeux de surprise. Dès qu'il eut repris ses esprits, il reconnut l'odeur de la meute du lac. Discrétement, il cacha la souris dans la touffe d'herbe. Il n'avait pas envi de perdre cette proie qu'il venait de chasser et de revenir au camp sans rien. Nuée Obscure regarda la coyotte, puis dit:
"Je ne savais pas qu'il y avait quelqu'un d'autre ici..."
En voyant les yeux furieux qu'elle lui lançaient, il rabattit légèrement les oreilles.
"Qui êtes vous?"

[Voilà]

je peux????

[Moi je veux bien, Croc de Lumière je sais pas!]